L'année 1900 semble se montrer très prometteuse pour la famille Tradd, mais d'après les anciens esclaves qui habitent toujours la plantation Ashley Barony , une malédiction a été jetée sur cette famille qui n'a pas le nom de famille Ashley. Les Ashley étaient propriétaires de cette terre et elle se transmettait de génération en génération : la terre appartenait aux Ashley! La famille Tradd va vivre beaucoup d'évènements tragiques et Stuart, l'aîné, épouse en cette année une jeune femme charmante et frivole qui répond au nom de Margaret. Cette jeune femme va vivre de nombreux drames, mais miraculeusement, elle arrivera à survivre. Margaret devra renoncer à la vie dont elle rêvait et assumer la charge de cette propriété et ce sera à sa fille, Garden, de vivre la vie dont elle rêvait pour elle-même. Elle épousera un riche New-Yorkais. Un tourbillon de plaisirs l'attend. Mais bientôt, Garden s'aperçoit qu'une machination plane sur elle et les siens. Son avenir et sa vie sont en danger. Elle devra se battre et surmonter ces difficultés. Y arrivera-t-elle?
Ce livre reste dans la lignée de Scarlett. Alexandra Ripley est la digne successeur de Margaret Mitchell. Elle arrive à nous faire vivre les « Années Folles », la « Prohibition », et immanquablement la guerre, la Première Guerre Mondiale.
Margaret Mitchell nous fait vivre les voyages de ses personnages. Elle nous fait ressentir leurs impressions par des descriptions très réalistes. Elle insiste bien sur les sentiments qui traversent les personnages, on y croit même, et on ressent ses sentiments.
Grâce à Margaret Mitchell j'ai passé de merveilleux moments à lire ce livre. Il m'a transporté dans la Caroline du Sud, à New York, Paris, dans la Côte d'Azur, dans le pluvieux Londres des débuts du XXème siècle. J'avais réellement l'impression de vivre la vie de ses personnages. Et maintenant que j'ai fini ce livre je ressens un vide. Ses personnages si attachants, me manquent. J'ai envie de retourner les voir.
Les livres de Alexandra Ripley restent toujours aussi agréables à lire et je ne m’en lasse jamais.
Elodie RENAULT
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