Va bien falloir les aider ces gamines qu'on exploite.
A coup de bastos et de bagarre, de mort ou d'enlevés, les vacances tournent au cauchemar. Qu'est-ce qu'ils veulent ? Qu'est-ce qu'ils trafiquent donc ? Et c'est qui "qui" ? Pour comble de malheur, l'Enôrme, Béru et sa baleine débarquent pour faire une surprise. Le fiston est aussi, involontairement de la partie. Tu parles d'une surprise ! Y'en a qui disent qu'ils auraient mieux fait de rester au lit, ça aurait faciliter les choses... Et ils auraient eu raison !
Première aventure officielle de San Antonio écrit par le fils (bien qu'il ait largement collaboré dans les dernières aventures signées du père). Et ben, comment dire, je dirai que c'est loupé. En premier, par la finesse de l'écrit. Il y avait, avant, puisque je n'ai pas eu l'occasion de lire les dernières aventures, de la finesse, même dans les scènes chaudes. Là, rien de tout ça. Et vas-y que l'on a le détail détaillé des scènes obscènes. J’ai plus assez de doigts de pieds pour les compter tellement ça rempli les pages. Y'en a à foison.
En second, l'histoire. C'est tiré par les cheveux. Il fallait absolument que tous les protagonistes habituels soient là (Béru, sa femme, le fiston et le retraité) et ils arrivent comme un cheveu dans la soupe. Se mêlent à l’histoire pour dire qu’ils y participent.
Une histoire tirée par les cheveux pour un dénouement encore plus... comment dire... vague.
En troisième : l'argot. Il est là, mais moins fin. Pas utilisé à bon escient.
Y'a pas d'autre mot : déçu.
Ah, si !... Lourd.
Benjamin DUQUENNE
mardi 16 janvier 2007
Corrida pour une vache folle de Patrice Dard
San Antonio, en voyage sur la Costa Brava avec Marie-Marie se la coule douce. Mais quand on crie à l'étage supérieur de l'hôtel, rien de va plus. Et le sens de la justice, même en vacances, ça le travaille le San A. Il n'y a pas d'heure pour les braves.
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